Partir…
S’extraire, s’ouvrir,
puis onduler, voltiger sur un fil…
Respirer…
Se détacher,
prendre le risque de se perdre,
sans avoir peur de se retrouver…
S’enraciner…
Guérir.
Le moment, ce moment-là, ou le corps est suspendu, juste avant de disparaître dans le paysage, plus ici, pas encore là-bas.
Entre deux.
Toujours.
Deux lagunages. Dessin et peinture. Un au service de l’autre. Trouver un équilibre formel entre ces deux écritures qui se complètent, qui s’incorporent, qui se croisent… qui forment un passage à saisir…